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St-Jacques de Compostelle

St-Jacques de Compostelle
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St-Jacques de Compostelle
27 mars 2007

Pardonnez la mise en page

vers la fin du document car je n'ai pas réussis à le transformer. Bye A+

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25 mars 2007

Petit Résumé de mon voyage.

Voici une missive qui peut être intéressante si vous voulez entrer dans un monde qui est disponible à tous, mais que peu de gens veulent vivre. Pourquoi? Parce que ce monde est un monde de questionnement, de réponse insoupçonnée, de liberté, de changement, de crainte, de dépassement et bien sûr de rencontres exceptionnelles.
Le 12 mai de l’an de grâce 2006, je partais de l’aéroport d’Ancienne Lorette en direction des vieux pays. Rendu à  Paris, je
pris le TGV (il faut le dire vite, car c’était plus un train de banlieue pour ce qui est de la vitesse) en direction de Rennes plus au nord mais pas encore rendu à Pontorson (Ville avec un auberge de jeunesse à 7.4 Km du Mont-Saint-Michel). Le 14 mai, je vais au Mont-Saint-Michel pour prendre les photos et les films de la Merveille. Et je reviens à Pontorson pour dormir car au Mont-Saint-Michel le coût d’un couché peut être de 120 € (170 $ canadien).
Le 15, je me réveille, et je vais au Mont-Saint-Michel, j’arrive assez de bonne heure, je vais voir le bureau des Pèlerins et
je fais estampiller ma crédencial (Carnet du Pèlerin qui valide les couchés). L’homme qui me reçoit me dis qu’il y a une messe des pèlerins à 11 heures il me semble, alors je me promène un peu sur place bien qu’avec son sac à dos de 21 Kg (46.3 livres) je suis limité, car je ne veux pas frapper personne. Finalement je vais ouïr l’office. Après je vais voir le prêtre pour qu’il me bénis et cela fait je commence enfin mon pèlerinage, bien que je sais qu’il est commencé il y déjà plusieurs semaines. Rendu à Pontorson, quelque chose me dit de dormir ici, et c’est ce que j’ai fais. 1ière journée 7.4 Km pas pire Richard, à ce rythme tu devrais atteindre Cabo Fisterra dans 270 jours. Alors le lendemain matin soit le 16 mai, je vais dans la ville de Sens de Bretagne. Donc j’ai rattrapé le retard pris hier. Pendant les 10 premiers jours, en Bretagne + ou – 2 jours, voici la journée type.
Départ le matin de bonne heure, 6 heures 15 minutes environ, achat de baguette et fromage pour la journée avec toujours une
baguette dans mon sac, au cas où. Vers le midi arrêt pour prendre un coup de rouge (les Français lorsqu’ils vous invitent a prendre un coup, attention car c’est seulement une consommation, et non comme nous un coup c’est une vrai brosse). Après marche un peu, soit 1 heure trente à 2 heures. Manger dans un champ. Ici je dois ouvrir une parenthèse car y il a une histoire que je dois vous compter. Comme en Bretagne dans le temps ou j’ai passé par là, le matin au départ il pleuvait et ce n’était pas très chaud, alors je devais m’habiller en conséquence, soit un imperméable. Après une heure la pluie finissait pendent 45 minutes et ensuite la pluie recommençait et elle arrêtait ensuite pour la reste de la journée. Mais au bout de trois jours je me suis rendu compte que l’imperméable bien qu’elle me protégeait de la pluie, elle empêchait la sueur de sortir. Alors j’étais aussi mouillé avec que sans ainsi j’ai arrêter de la mettre. Et mon linge séchait par le soleil car j’avais des vêtements de polyester. Alors mon histoire, il est 13 heure environ, il fait beau et chaud, le sol n’est pas vraiment trempé, je suis dans un champ, je mets mon sac au sol, je sorts mon pain, mon vin, mon fromage et mon saucisson. Je prends ma bâche pour m’en faire une nappe et je coupe des tranches de saucissons et de fromages que je laisse se réchauffer et je mange un morceau de pain avec un petit rouge. Lorsque le fromage devient mou à souhait, je l’étends sur le pain et je fais de même avec le saucisson, Merveilleux repas, le soleil est là, la bouffe aussi et je prends le temps de vivre intensément le moment présent. Malgré les repas que j’ai pus prendre en Espagne en compagnie de Gens charmants, jamais je n’ai pus ressentir cette joie plénière par la suite. Après je poursuis la marche jusqu’à la ville du point de chute pour la journée.
En Bretagne, j’ai reçu un accueille royal. Les Bretons et le Bretonnes sont des gens qui nous ressemblent, car le parlé est
très similaire, bien que pas pareil. Lorsque je l’eux demandais s’ils barraient les portes ils me répondaient en souriant, car eux ils disent verrouiller comme les autres français. Mais ils savent que barrer est l’ancien mot utilisé par leurs ancêtres pour dire verrouiller. Et il y pleins d’autres exemples comme celui-ci, mais cela ne ferait qu’alourdir ce texte.
Ille et Vilaine, (le département 35) La chaleur est forte, 35° C. Bien que la chaleur soit très forte il me semble qu’elle ne
trouble pas mon Âme/Esprit. Alors il est 13 heures, je marche dans un chemin de terre, je suis les balises du chemin et j’arrive dans un cul de sac à l’orée d’un champ. Il y a des fils barbelés qui contournent le champ et il y a deux vaches juste l’autre bord de ces fils. Et sur le pèlerinage une des lois non écrite est, va toujours vers l’avant jamais tu ne reviens sur tes pas. Alors je regarde les vaches manger, et je me dis non c’est pas possible que je me suis trompé, il y a environ 10 minutes que je viens de voir un balise. Je ferme les yeux, je mets un genou au sol et étant donné que je crois en Dieu, je lui dis. Aidez moi S.V.P montrez moi le chemin. J’ouvre les yeux et le champ ainsi que les vaches sont disparues. Je me relève je pense un moment que je suis fou, et je regarde à ma gauche il y a une balise sur un poteau. Alors je remercie Dieu et je continue mon chemin.
Quelques jours après, la chaleur est la même, je suis les balises mais elles indiquent de descendre le long d’un champ où il
y a eu de la coupe de bois. Alors je descends sans vraiment faire confiance au chemin que je dois prendre. Et finalement après 1 heure 30 je suis dans un champ de plantes avec des petites épines et comme je ne sais pas que c’était un champ de l’état je fait attention de ne pas brisé ces plantes et j’arrive au pied d’une tour électrique. Là je sais que je me suis égaré mais pas perdu car je sais d’où je viens et ou je me dois de me rendre. Alors encore je pris Dieu car après cette marche dans cette culture ou plutôt dans ce champ de mauvaises herbes, les jambes me font souffrir tellement que je me demande si je serais capable de marche encore. Mais j’ai un truc, la douleur est si vive (comme si je m’empoisonnais) et que la situation est tellement simple qu’il faut simplement marché, Il faut aussi rire de la situation et de penser que mon voyage ne peut arrêter là. Alors je me dirige vers le haut de la montagne à travers le champ sans vraiment faire attention au champ. Rendu su le chemin principal, je me rend compte que je suis revenu à l’endroit ou la balise me disait de descendre dans le champ. Les jambes sont en feu et elles saignent abondamment. Elles picote comme lorsque la chair dégèle. Mais je marche et je ne veux pas arrêter et je trouve cela même plaisant car je sens que mon organisme travaille avec moi pour purger le poison. Alors en résumé je suis revenu dans le bon chemin sans revenir sur mes pas. Alors j’ai respecté la loi non écrite.
Loire-Atlantique (le département 44) Avec la pluie qui est tombée pendant 15 jours en France dans la région où j’ai passé les
chemins de terre sont très dur à marcher, parce que ils sont sous l’eau et dans la boue. Voici une petite histoire assez incongrue qui m’est arrivé. En ce jour il pleut, une fine pluie, je marche avant d’arriver à Nantes. Les chemins sont vraiment impraticables et les balises je ne les vois que très peu. Je suis en bas d’une petite côte un «buton» quoi! La pluie est chaude, et encore je suis égaré mais pas perdu. Il n’y a pas de chemin en face de moi alors comme je marchais sans bâton de marche, je me cherche un bout de bois pour m’aider à monter le «buton». Je vois ce bout de bois il mesurait bien 20 pieds je le saisis et avec la force d'un levier il se brise. Mais en ce brisant il me frappe derrière la tête assez pour que je sois étourdi. Je le regardes et je lui dis oui je  sais tu ne veux pas partir de ta région, mais sache que si tu me suis tu verra des paysage que tu n'aura jamais pue voir en restant ici. Et après le bourdon a été correct avec moi jusqu’à ce que je me le fasse volé. Lorsque la pluie fit place à Galarneau (Le Soleil), le pèlerinage, les journées furent plus faciles à réaliser. Bien que les étapes dans les livres étaient en moyennes de 27 Km par jour, Jamais en France je n’ai fais des journées comme indiqué dans le Guide, toujours plus de Km. Mais je suis membre du Club de Marche de Lévis alors je sais que j’en étais capable.
Rendu dans les Landes (Le département 40), région où Napoléon a planté des pins car c’était des marécages avant. Je viens de
passer la Gironde (33) où il n’y avait pas encore de balise, lorsque je suis passé, mais où les gîtes sont «Donativo(1)» pour la plupart comme en Espagne. Je suis sur le béton (asphalte) depuis déjà trop longtemps, mais c’est le chemin. Je n’ai pas vu des cimetières (Car dans les cimetières l’eau est potable et c’est là que je remplis mon Camelbak) et il est 16 heures 16 minutes j’ai marche beaucoup aujourd’hui mais je ne suis pas encore rendu à la ville de mon point de chute et il me reste 50 Cl ou 500 ml d’eau. Devant moi une route en asphalte et le soleil est encore très fort, je me couche sur le bord du chemin, et je me rends compte que sûrement que la Meseta en Espagne pourra ressembler à cela. Je ne peux pas rester là car le liquide corporel disparaît sans effort, alors je repars sur cette route dont je ne vois pas la fin. Le chemin d’asphalte fini enfin pour entrer dans un chemin de terre que je prends. Et finalement je me bute à un champ avec deux vaches et du fils barbelés.

Et oui je suis encore dans un cul de sac. Bien que je ne crois pas ce que je vis, je ferme les yeux, je pris Dieu de me monter le chemin à prendre et lorsque j’ouvre les yeux encore les vaches et champs ont disparus en me montrant une balise pour la poursuite du chemin. Finalement la journée achève, je me couche dans un gîte chez des gens qui ont fait le chemin des étoiles (Espagne) et qui partent en octobre de cette année pour faire le puy en velay.
Aujourd’hui le 21 juin je vais entrée à Saint-Jean-Pied-De-Port. L’endroit ou presque tous les chemins de France se
rencontrent pour traverser en Espagne. Aujourd’hui je marche avec Marc un homme qui est partis de chez eux (BEAUMES-DE-VENISE) en direction de Santiago. Nous parlons de choses et d’autres et sans que je ne m’en rende vraiment compte il me dit avec un grand sourire nous voila rendu. Je regarde un peu et je ne sens pas de fierté mais un sentiment de plénitude m’envahir. Nous passons par la porte de Saint-Jacques et nous tombons sur un groupe de tourisme Français qui lorsque j’ouvre la bouche se mette à nous photographier sans arrêt. Mais pour le gîte il faut le trouver, nous marchons un peu en parlais et nous arrivons à l’accueil Saint-Jacques.

Ici fini le chemin Français du Mont-Saint-Michel en direction de Cabo Fisterra

1196,8 km pour la France en 33 jours de marche.


Départ de St Jean Pied de Port (France) En direction de Cabo Fisterra (la fin des terres) en Espagne
                        
1061,41 Km (659,53 miles)  en 29 jours de marche

Je pars de St Jean le matin. Et c’est une grosse journée, car je monte dans les Pyrénées sur une distance de 27.9 Km avec une altitude de 164 mètre ( 538,06 pieds) à 1450 mètre (4757,22 pieds). Mais bien qu’en France, je n’aie pas vraiment monté de montagne je sais que je dois y arriver. Au départ je vois un groupe de Français et Françaises qui font porté les bagages jusqu’à leur endroit de couché soit la Grande Roncevalles(Roncevaux). Je me pensais assez en forme, mais en montant je dois arrêter à tous les 300 mètre( 984,25 pieds) pour respirer. Si je vous dis cela n’est que pour vous démontrez que je marchais aussi vite sur le plat, que dans le montagne (Erreur!!!). Mais la température est brumeuse, il y a une petite pluie qui tombe. C’est frisquet, mais en marchant la chaleur corporelle me rends capable de vivre ce moment très fort de mon voyage. Moment très fort, Pourquoi? Car j’ai toujours lu les chansons de geste du moyen âge, les légendes arthuriennes et dans beaucoup de ces livres,  Roncevaux est un haut lieu de chevalerie et de foi. Et dans mes recherches je sais que Roland ((*)) (qui est mon héros, possesseur de Durandal (Épée de Roland)) champion de Charlemagne a été terrassé ici par le maures. Alors je dois voir ce champ où il défendit les arrières de son seigneur et oui dans élan de chevalerie est mort en soufflant dans son cor.
Alors sur ma route, j’arrive à la hauteur d’un auberge où je sais que la première pèlerine rencontrer en France a dormit. Comme cela fait déjà une heure 46 minutes que je marche, mon Camelbak n’est plus plein. Et comme en France j’ai manqué deux fois d’eau je ne veux plus que cela arrive. Donc je m’arrête prendre de l’eau sur le mur de la bâtisse il y a un tuyau avec une champlure. Je remplis ma réserve d’eau, et comme je n’ai vu personne depuis mon départ je cogne sur la porte et j’entre dans l’auberge. Le proprio me regarde, je le salut et je lui dis que j’ai pris de l’eau dans l’abreuvoir. Il me dit «Parfait si cela peux vous permettre de continuer.» Je sors et il pleut toujours. Mais ma détermination elle est intacte, et attention je n’ai pas dit courage, comme beaucoup de gens sur mon périple me disaient «Bon courage». Je marche et je marche encore. J’arrive à 13.8 km ( 8.57 miles) et dans la brume que je peux couper au couteau je vois des brebis qui mangent dans les champs et il y a une statue. Elle est à environ 16 mètre (52.49 pieds) de moi, je l’observe et je ne bouge pas. Je la vois de dos pendant une gosse minute. Je m’approche car la statue à l’apparence d’un berger. Et lorsque je suis à sa hauteur je m’aperçois que c’est un homme un vrai et mon pas une statue. Je le salut c’est un berger qui fait cela depuis 30 ans et il veux faire cela le reste de sa vie. Bien que je lui parle en québécois et lui en basque (mais aussi un peu en français). Je le fais rire et lui de même, je poursuis ma route. J’arrive enfin à la fontaine de Roland près de la frontière Franco-espagnole. Là j’y rencontre deux Finlandais, avec qui j’eu une discussion des plus intéressante (en anglais il va s’en dire). Je poursuis, la brume est toujours là, je sais que je ne pourrais pas voir le champ ou Roland est tombé, mais mon cœur est léger car je passe sur le chemin qu’il a lui-même utilisé. La petite pluie est toujours là, j’arrive enfin au col de Lepoeder, le point le plus haut de la journée. Bien que la brume soit très présente, je sais qu’à mes pieds il y a une vallée avec des montagnes qui  borde la dite vallée, je la sent, je la perçois avec mes sens aiguisés. Le groupe de Français et Françaises du début de journée me rejoignent, et comme je suis en contemplation sur ce que je ne vois pas mais sur ce qu’il y a vraiment à mes pieds. Nous échangeons et selon mon guide il y a deux chemins possibles, un en asphalte et l’autre plus long et plus dangereux car la pluie à rendu le chemin glissant. Tous ceux qui sont près de moi décident de prendre le chemin asphalté. Moi je veux voir la forêt donc je prends le chemin le moins fréquenté, et j’ai pris deux de mes plus belles photos dans cet endroit. Imaginez vous dans une foret qui semble sauvage, mais est aussi accueillante que comme lorsque vous entrez dans un endroit où votre cœur à des souvenirs indescriptibles où les arbustes sont presque inexistants et où les arbres matures abondes. Il y a au centre un petit sentier que vous descendez en faisant attention car c’est glissant un peu. Je me vois dans ce bois sur mon cheval en train de repoussez les maures, ah que c’est beau. Je suis en chemin pour fini ma journée de marche, Je vois au bout de mon chemin la Real Colegiata de Roncesvalles. Endroit majestueux où je vais dormir cette nuit. Je marche sur des sentiers très intéressants, je passe à Pamplona (Pampelune) la ville ou 8 jours par année il y a une course sur 1 Km ( 0.62 miles) avec et/ou contre des taureaux et ce sans vraiment le savoir que j’étais dans cette ville. Comme beaucoup de choses dans ce voyage, j’arrive à des endroits sans savoir au préalable que j’y arrive. Mais bon cela doit être du à ma contemplation des chose que je vois. Je suis en haut d’une montagne et fait très beau, les oiseaux chantent il y a à ma gauche une croix ou un japonais est mort et un peu plus loin un «p’tit banc de fortune», un 2X6 sur deux bûches. Et en face de ce banc il y a un paysage de tout beauté, alors je m’assoie pour collationner. Je sors la baguette de pain, le saucisson, mais je n’attends pas que le saucisson se réchauffe et je le coupe pour me faire des tranches de ce très bon morceau de viande. Et comme je ne fais pas très attention le couteau Opinel vient s’abreuver de mon propre sang. Je suis en montagne et il n’y a pas beaucoup de gens sur ce sentier ce matin, je suis bien entaillé. Donc je porte le doigt à ma bouche afin de ne pas trop salir le site, je prends ma trousse de soin dans mon sac à dos. Un peu difficile avec seulement une main, mais je réussis quand même à mettre la main dessus. Le sang coule toujours, je mets une gaze antiseptique sur la coupure et un pansement stérile pour attacher le tout. Comme j’aurais aimé prendre une photo du paysage, mais ce paysage est en moi et le sera toujours. Cinq jours après, la cicatrice est assez fermée pour enlever le bandage. Lorsque je suis arrivé à Logroño pour dormir, le gîte est + ou – fermé, on peut entré mais pas s’inscrire. Les pèlerins me saluent et moi aussi, la journée est très belle. Les pèlerins me nomment l’homme pain (el hombre pan) et lorsque je me présente à l’hopitaléros (l’aubergiste) il me dit «ah je suis content de te voir j’ai déjà entendu parler de toi» (C’est cela le radio camino). Car je suis le seul qui marche avec deux à trois baguettes de pain sur mon sac et non dans mon sac à dos.

La Meseta. C’est quoi? C’est un plateau plus désertique qu’autre chose où le soleil est fort et où l’ombre est rare comme la m.… de pape. Mais même si ce tracé de 10 jours environ est plus dur, il n’est pas non plus infaisable, car il n’y a pas de montagne à monter. Il a un tronçon de 17 Km ( 10.56 miles) sans eau possible. Et ce tronçon est long, très long. Et en arrivant à l’Hospital (auberge de pèlerins)  il y a une belle surprise une piscine creusée. La croix de fer ( La Cruz de Ferro (ou Cruz de Hierro) est à 1490 m ( 4 888,45 pieds) Autre moment fort de mon pèlerinage. Ici une croix haut ou les pèlerins jettent une pierre de la grosseur de leurs péchés pour obtenir le pardon ou pour obtenir une faveur. Et disons cinq à dix minutes après il me semble il y a un paysage de toute beauté. Nous sommes à 1505 mètres 4937,66 pieds d’altitude. Et en bas nous voyons une vallée verdoyante, avec un chemin qui suit les montagnes en reliant les petits villages un avec l’autre, de toute beauté. Et là la pire chose que j’ai vécu en pèlerinage. Descendre les montagnes. Comme descendre est difficile pour moi car il faut «breaker» freiner sa descente. Montez ça va il suffit de forcer, mais descendre c’est très dur. Pendant mon pèlerinage j’ai blasphémé 5 fois dont 3 fois ce jour. Bien que je n’aie aucune excuse pour cela, je sais que la fatigue m’a rendu moins résistant aux frustrations.
O Cebreiro, pour arriver là c’est les acquis faits dans les Pyrénées qui me seront utiles. Ne pas courir, juste prendre son temps et profiter du paysage. Et en arrivant bien que la ville soit trop mercantile elle a un certain charme. Et dans l’église Santa Maria la Real, il y un accueil des plus fantastiques,  les gens qui sont là sont souriants, gentils et en plus le Saint Graal est là. Oui je sais, c’est sûrement pas lui mais ce calice a servit à un miracle lors des temps médiévaux.
Sarria, oui Sarria. Pour avoir sa Compostella (diplôme qui valide la réussit du pélerinage), la personne doit faire estampiller son crédencial sur au moins les 100 Km ( 62,14 miles) derniers du chemin. Et comme les Espagnols (es) du Nord sont très croyants, les jeunes surtouts partent de cette ville pour pouvoir mettre sur leurs C.V. qu’ils ont fait Saint-Jacques. Alors il y a beaucoup plus de gens sur les derniers 100 Km ( 62,14 miles) du chemin. Donc le matin partant de Sarria normalement je pars toujours seul mais là il y avait devant moi pas moi de vingt personnes. Ce n’est pas des menteries, il y avait foule devant moi et le rythme de la marche était de 3 km/heure alors que moi c’était plus 4 à 4.5 km/heure. Alors je fait mon temps et lorsque nous traversons une route bétonnée, j’en profite pour passer et marcher à mon rythme et là il y a encore plein de gens en avant, mais ils sont assez loin pour ne pas entraver ma marche. Et dans la journée cela rentre dans l’ordre. Le soir je couche à Portomarin. Mais il y a des personnes d’une vingtaine d’années dans le gîte communale, alors le sommeil est un peu plus dur à trouver, mais je le trouve assez rapidement. Dans le jour suivant je vois des mollets blancs alors je sais que ceux et celles-là marchent depuis Sarria c’est sûr et cela me fait rire car quelques pèlerins sur la route disant qu’ils ont eux de la misère à dormir et que les fêtards ne sont pas de vrais pèlerins. Énoncé intéressant, arrêtons nous quelques instants pour réfléchir là-dessus. Avant que je parte une dame qui avait fait le pèlerinage de Saint-Jacques, elle est du club de marche. Disait qu’elle avait fait une journée de bus à cause d’une blessure où d’un malaise. Je me disais mais alors son pèlerinage n’est pas bon! Mais lorsqu’une rencontre dans un gîte espagnole d’une dame en forme, qui était une athlète de Bobsleigh. Elle a eu un accident dans sa discipline et perdu l’usage de ses jambes. Elle dit à Dieu si je marche de nouveau j’irais vous vénérer à Saint-Jacques. Et à Conques sur le chemin du Puy en Velay elle est fortement incommodée par une tendinite qui l’arrêta pas moins de dix jours. Et en Espagne là où je l’ai rencontré elle est encore arrêter elle as consultée des médecins, des thérapeutes et d’autres professionnels. Je parle avec elle, et elle m’a fait comprendre que le fait de faire ce chemin on doit le faire pour soi et seulement pour soi et que quelques pèlerins disent d’elle, qu’elle n’est pas un pèlerine car elle a du prendre le taxi à quelques reprises sur le chemin. A voir sa ferveur je sais qu’elle est pèlerine et que même si elle ne fait pas tout le chemin, elle est une pèlerine au vrai sens du terme. Et même moi juste avant Blaye en France j’avais une forte douleur à une hanche, je me suis arrêté à un arrêt d’autobus en pensant le prendre jusque à mon point de chute de la journée. J’ai attendu 30 minutes environ et heureusement on était le dimanche, alors pas d’autobus. Je suis repartis et marchant très vite la douleur a augmenté un peu et puis elle est devenu moins forte après 30 minutes et elle finie par disparaître. Mais je me suis rendu compte que si j’avais pris l`autobus mon pèlerinage aurait eux la même valeur pour moi. Alors je sais maintenant, que même ceux et celles qui marchent que juste un peu, leur pèlerinage est aussi bon que n’importe lequel si c’est leur façon de faire. Voilà pourquoi je me suis mis à rire de la réaction des pèlerins qui n’avaient pas vraiment dormis.

J’arrive à Monte do Gozo, un endroit de 800 places pour dormir à juste 3.2 Km ( 2 miles ) avant Santiago (Saint-Jacques de Compostelle). Un endroit parfait pour se mettre beau et/ou belle avant d’arriver au point final de beaucoup de gens, la cathédral de Santiago. Donc pour ce jour qui est encore un moment fort de mon périple. Il fait beau, je pars de bonne heure car il y a une messe des Pèlerins à 11 heure ou midi à la cathédrale. En marchant je ne croise pas un chat de pèlerin. Je m’arrête dans un café pour boire un vrai café. Les Espresso espagnole sont des café très mais très velouté, d’une douceur quasi divine. Que vous preniez un court, un double ou bien un bol de café au lait, vos papilles gustatives vous remerciera et vous en demandera encore, encore et encore. Alors je repars, il est 10 heures et encore sans le savoir je me retrouve en face de la dite cathédrale. Je prends quelques photos les gens sur place connus et pas me parlent. Je vais chercher ma Compostella, et je vais ouïr l’office. Et je me rends compte que nous sommes Dimanche et le Dimanche l’encensoir est activé. Un réel objet du temps médiéval. Cette ville bien qu’elle soit ancienne et très jolie, pour ma part je l’ai trouvé trop mais beaucoup trop mercantile, à chaque bâtisse il y a un commerce de souvenir. Demain je partirais donc pour la fin des terres. Ici je dois ouvrir une parenthèse. La fin des terres. Dans une ville en Espagne j’ai croisé un femme qui venait de Saint Jean Port Joli, et elle me disait que pour les Européens c’est la fin des terres, mais que pour nous Américains ce lieu était le début des terres, car nos terres commencent où celles des Européens finissent et effectivement je me suis rendu compte qu’elle avait raison. Donc départ pour le début des terres. Je marche lentement très lentement, mais je sais que je vais arriver à mont point de chute de ce voyage. Mon chargeur de batteries est brisé depuis déjà quelques jours environ 11 jours, donc la prise de photos et de clips vidéo est moins importante dans mes derniers kilomètres. Aujourd’hui j’ai mangé des mûres, beaucoup de mûres. Il y a moins de passants alors la nature me réserve encore des surprises, je ne rencontre personne sur le chemin mais dans les gîtes il y a du monde et même les gîtes sont pleins. Aujourd’hui une bretelle de mon sac à dos à céder. Je suis dans des montagnes c’est brumeux, alors je me place sur le côté du sentier et je sort mes aiguilles qui ont servis à soigner les ampoules des gens qui avaient de besoin. Bien sure je les stérilisais avec de l’alcool à 70%. Et je couds la bretelle de mon sac. Trois pèlerins me demandent si ça va bien et moi de répondre que oui. Je remets le sac sur mon dos et je poursuis. Je suis à un jour du début des terres. Je suis le matin et je sais que ce soir j’aurais fait le plus beau voyage detoute ma vie. Oui je sais je n’ai que 37 ans, mais ce voyage m’aura permis de comprendre des choses que je ne cherchais pas à comprendre et qui sont très importante pour la poursuite de ma vie. Il est de bonne heure et j’arrive à Fisterra la ville avant le Cabo Fisterra (Le début des terres). Il fait très beau et je marche présentement sur la plage, je croise une vieille femme espagnol qui ne parle pas français et encore moins l’anglais, je l’écoute et je lui dis des phrases de base qui va avec ce que j’ai compris. Et elle me dit qu’elle priera pour moi. Je marche vers l’albergue (gîte), et je suis sur une plage, il y des gens qui se baignent et de jolies femmes qui font bronzés leur peau qui est déjà si bien bronzés et attirants que c’est n'est sûrement que pour leur propre détente qu’elles sont là. Mais mon pèlerinage n’est pas fini alors continuons. J’arrive enfin au gîte et il n’est pas encore ouvert. Alors je laisse mon sac à dos à la porte et je vais boire une bière et/ou deux pour vivre ce moment qui laisse place au lendemain pour aller au but final de mon voyage «Cabo Fisterra». Le lendemain, c’est la pluie qui tombe. Mais ce n’est pas la pluie qui va m’arrêter! Sur 3.4 km pour m’y rendre la pluie fait place à un ciel nuageux avec des percées de soleil, alors encore une fois la nature est en accord avec moi, ou avec mes objectifs. Je m’assoie sur le cap et je regarde l’océan. Que la vie est belle, quelle est généreuse.

((*)) voir La Chanson de Roland sur votre ami google.

Total :    62 jours de marche pour

2258.21 km

avec une moyenne de

36,42 km

(

22,63 miles

) / jour.

N.B. : Si je vais ce calcul c’est que pour plusieurs d’entre vous c’est important. Mais pour ceux qui l’on fait ces chiffres ne veulent rien dire car chaque jour est un nouveau jour avec les acquis d’hier mais avec les nouvelles forces du jour. J’espère que ces quelques mots, vous donnerons le goût de voir ce que votre cœur vous commande.

((*)) voir

La Chanson

de Roland sur votre ami google.


 
Richard Chawa Durandal le Sage Roy XXX 3/4

22 août 2006

Et oui je suis rendu ....

À Lévis, oui je sais, j'aurais pu vous le dire depuis plus longtemps puisse que je suis partis de

la France

depuis le 10 août. Mais j'ai tardé. Ceci n'est pas le résumé de mon voyage car le résumé viendra plus tard. Je dois avouer que je suis content d'être de nouveau parmi vous et mon envie de pâté chinois est passée car j'en ai mangé. Youpi. Il me reste à faire un tri de mes photos. Je pensais que j'avais 233 photos, mais lors du transfert sur mon ordi, je me suis rendu compte que j'en avais 1333 et 4 heures 30 de films. Et il me semble qu'il me manque des photos, car il y a des images que j'ai pris qui ne sont pas présentes.

Alors je vous écris simplement pour vous dire que je suis de retour et que j'ai hâte de vous voir.

Bye A+ Des Pieds d'Argile et du sac fragile.

9 août 2006

Dernier jour..... Si Dieu le veut.....

Bien le bonjour à vous tous et toutes.

Je suis encore à Paris mais là c'est différent, car j'ai mon billet ou plutôt la confirmation que je pars d'ici pour le Québec, mon cher Pays demain midi ici donc avec les transferts vers 14 heures à Montréal. Donc j'espère dormir demain à Lévis, mais à Montréal serait très bien aussi!!!! Mon voyage PHYSIQUE( Hein la Tribu , il faut lire au complet) achève, mais pas mon voyage Spirituelle. Tantôt je suis arrivé de Reims vers les 10 heures et je dors dans une chambre juste bonne pour une nuit car l'aspirateur n'est pas passé et surtout il n'y a pas de douche, alors l'éponge est de rigueur. Mais c'est correct.

Je sais que mon sac à dos dépasse le 20 Kilos réglémentaire d'air transat, mais là j'ai mêmé enlevé le 50 Cl de coke pouah, pas bon, ou plutôt cola. Il y a le shampoing et le savon de tissu que je pourrais enlever, mais je verrais demain.

Je ne fini pas le blog car lorsque je serais en ville il faut que je puis vous donnez des photos et des impressions.

Donc Bye et A+ des Pieds d'Argiles et du sac fragile.

7 août 2006

Reims mais je vais encore manqué de temps....

Bien le bonjours à vous tous. La vrai fin de mon voyage arrive à grand pas, et je sais et surtout je dois entrer au Québec car ma présence en Europe de trois mois arrive aussi à sa fin. Oui Patrick hier m'a donné des trucs pour prolongé, mais mon coeur ne veux peut être pas. Il est 3 heures - 10 et dehors il faut seulement 24°C.

Je vais aller voir l'endroit ou est le calice, je dois avoué que cela m'excite un peu. Pour un objet je parle. Lorsque mes pieds s'élèveront du sols je verrais ma vie passé s'éloigner mais pas disparaître, car je veux pouvoir m'y accoté pour m'élencer vers l'avant. Alors Bye et A+ Des Pieds d'Argiles et du sac fragile.

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5 août 2006

Reims encore, mais .....

Ce matin pour vous au Québec j'ai pu voir la Tribu au complet, soit Esther, Patrick et Salomé. Alors ma journée quoi qu'elle soit sous la pluie elle devient resplendissante. Éric j'ai mangé ce matin pour la première fois en France non pas un pain au chocolat, mais un croissant au chocolat.  La différence est que cela a la forme d'un croissant et qu'au lien de deux barres de chocolats c'est 4 barres de chocolats qui sont inclus dans le croissant. Intéressant pour un gourmand comme moi.

il me reste le musée épiscopale à voir ici. La où ce trouverais le calice qui a servis aux sacres des roi de France depuis Clovis en 948. Il y a aussi le médaillion de Charlemagne. mais comme je suis ici encore pour plusieurs jours je ne veux pas les voir aujourd'hui.

Oui je pourrais aller dans d'autres villes ou bourgs, mais mon coeur d'aventurier me dit de rester calme et de rester ici un temps, alors c'est ce que je fais, mais vous étés tous dans mon coeur et dans mes pensées; Alors passé tous du bon temps en cette fin d'été.

Des Pieds d'Argiles et du sac fragile A+

N.B.: Merci ma tante Jacqueline pour la transmission de ce blog aux membres de la famille qui n'ont pas internet.

4 août 2006

Et oui Reims est mienne.....

Je suis dans un centre de séjour international ( genre auberge de jeunesse) et c' est l'endroit ou Charles je ne sait plus le numéro fut sacré Roi avec l'aide de Jeanne d'Arc. Depuis Clovis soit en 948 les roi des Francs sont sacrés roi ici, sauf deux rois. Alors si je reste ici le coût de la vie est un peu moins cher,  mais pour les déplacememts et le couché, je n'ai perdu que 35 €; Alors je suis content de mon mouve.

Je ne sais pas encore quand je rentre au pays, mais oui j'ai hâte, mais cela n'est plus aussi primordiale qu'à la fin de mon Pélerinage; Alors que Dieu soit loué et que mes amis soient remerciés de leurs soutient. Donc je n'ai plus rien à vous compter, mais Reims valait le détour, la Cathédrale, la Basélique et les monuments c'est à voir, mais pas de photos car la charge de ma batterie est finie. Alors Bye des Pieds d'Argiles et du sac Fragile A+

1 août 2006

Je suis à Paris et cela risque d'être long ....

Avant de partir d'ici. dans une Auberge de Jeunesse à 1 Sapin c'est 20.40 € la nuit et je ne peux pas partir avant le 10 août. Alors non le voyage n'est pas fini, mais là l'argent risque de manquer, alors je pense que je devoir chercher  un peu à l'extérieur de la ville.

Les experts du voyage des suggestions pour dormir en bas de 20 € à Paris ou au alentour?

Mais j'ai pris la chambre pour deux nuits alors, je me lave et mon linge cela est dans un lavoir, car dans l'auberge cela n'est pas permis. Et aprè soit demain je vais au centre de la ville avec mon sac à dos dans une consigne le temps d'une balade. Je n' ai vraiment plus rien à dire, sauf que cela fait 7 jours entier que je n'ai pas mis mon sac à dos pour un déplacement de plus de 5 Km, et NON cela ne me manque pas. Ça fait presque 5 jours que je n'ai pas marche pour que cela val le coût de la nourriture manger. Alors oui je suis en tain de rouler comme le dit la Tribu.

Mais le Moral est bon et je poursuit bien que je ne comprenne pas le pourquoi de ce BREAK entre le pélerinage et le retour au pays, mais comme me disait Marc juste avant d'arriver à St-Jean-Pied-de-Port, le Pourquoi me sert à rien juste le moment présent est réel. Alors le Nouveau moi devra faire acte de présence plus souvent pour s'impossé. Alors Bye des Pieds d'Argiles et du sac fragile A +

26 juillet 2006

Mon billet est acheté pour Lyon et ensuite je verrais.

Bien le bonjour à vous. je suis encore et encore à Burgos est ce que je vais finir par partir d'ici..... Oui la ville est belle et mérite d'etres vu, mais là je perds du temps et surtout de l¡argent que je pourrais utilisé aillieur. 97 € pour partir d'ici Burgos et me rendre à Lyon, moi je trouve cela cher. mais si c¡est la seule facon de partir d'ici, alors c'est correct. et en plus cel est seulement disible demain à 22 heures 25 alors un autre journée ici. Je voulais aller à Fromista mais l'autobus partait d'ici à 5 heures 30 il me semble et elle revenait demain matin pour 7 heures 15 et comme je voulais aller là que pour avoir un souvenir et bien le souvenir viens de prendre le bord. Alorsau revoir et A+ Des Pieds d'Argiles et du sac Fragile.

25 juillet 2006

Finalement je suis le 25 juillet et ....

ici c'est une fête Fériée. alors les autobus sont au ralentis(je parle des départs et des arrivées). Alors pour la première fois en Espagne je couche ce soir dehors. Et oui je suis en Espagne et j'ai mangé de l'indien. en me promenant ce midi j'ai vu ce petit resto et je me suis dis tien je vais essayer cela encore une fois. Et c'étair encore parfait. la nourriture bonne, bien épicés pas trop mais assez et avec un savant mélange d'épices douces et plus fortes, parfait je vous dis. Une chance le proprio parlait l'anglais alors pour mon alèrgie au crustacés je fus libre de manger ce que je voulais deux bonnes assiettes pour 7 € 55 centimes. Alors pour manger de l'indien pas besoin de se taper 22 heures d'avion juste 6 heures 30 minutes d'avion et environ 47 jours de marche avec une moyenne de je dirais 28 Km/jours. Alors je vous dis encore au revoir et A+ Des pieds d'Argiles et du sac fragile.

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